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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 10:29
pollution-copie-1.jpgEn marge du sommet de Copenhague, 140 scientifiques ont écrit à Ban Ki Moon, le secrétaire général de l'ONU. Ils réclament des preuves du réchauffement climatique, et la preuve que ce réchauffement est anormal.

Car on le sent bien: cette histoire de réchauffement dissimule d'énromes enjeux, financiers notamment. De nombreuses multinationales ont compris comment gagner de l'argent grâce à cela, tandis que d'autres bureaucrates se frottent les mains de pouvoir taxer le contribuable, accusé de détruire la planète.

En outre, la focalisation actuelle sur le CO2 est bien commode puisqu'elle permet d'occulter toutes les autres pollutions, probablement bien pires.


On le sait aussi: au Moyen Age, vers l'an 1000, on a déjà connu un fort réchauffement climatique en Europe notamment (Optimum médiéval). A cette époque, on produisait du vin rouge en Bretagne, et les sécheresses causent des famines et des épidémies dramatiques. Et puis, de la fin XVI è à la fin du XVIIIè, c'était ce qu'on a appelé le "petit âge glaciaire", où la Seine était gelée jusqu'en avril  durant plusieurs hivers de suite. Du coup, oui, depuis le milieu du XIX è on se réchauffe, et heureusement. Mais, on est encore loin des températures du Moyen Age...

Voici les preuves demandées par ces 140 scientifiques. Il demandent à ce que soient prouvés les éléments suivants:
  1. les variations climatiques mondiales de ces cent dernières années dépassent significativement leur fourchette naturelle de variation, telle qu’observée dans les siècles précédents ;
  2. les émissions humaines de dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre (GES) ont un impact dangereux sur le climat mondial ;
  3. les modèles informatiques peuvent répliquer les effets de tous les facteurs naturels pouvant influer notoirement sur le climat ;
  4. le niveau des mers augmente dangereusement à un taux accéléré à cause des émissions humaines de GES, menaçant donc les petites îles et les zones côtières ;
  5. l’incidence de la malaria est de plus en plus due aux récents changements climatiques ;
  6. la société humaine et les écosystèmes naturels ne peuvent pas s’adapter à des changements climatiques prévisibles, comme ils l’ont fait par le passé ;
  7. la retraite des glaciers dans le monde et la fonte des glaces dans les régions polaires sont inhabituelles et liées à l’accroissement des émissions humaines de GES ;
  8. les ours polaires et autres espèces de l’Arctique et de l’Antarctique sont incapables de s’adapter aux effets anticipés de changements climatiques locaux, indépendamment des causes de ces changements ;
  9. les tempêtes, cyclones tropicaux et autres évènements météorologiques extrêmes s’accroissent de manières sévère, tant en fréquence qu’en intensité ;
  10. les données enregistrées par les stations de surface sont un indicateur fiable des tendances des températures
En dehors de cela, d'autres scientifiques, comme Vincent Courtillot, un professeur de géologie et géophysique,deligne_rechauffement2.jpg qui a enseigné à Stanford, est membre de l'Académie des Sciences, etc. Il a récemment fait une conférence à l'université de Nantes, pour relativiser les déclarations alarmistes du GIEC (Groupe intergouvernemental sur le Réchauffement Climatique).

Courtillot reprend de nombreux graphiques du GIEC, qu'il critique au niveau de la méthodologie, des données elles-mêmes, et pour finir, dont il met en cause l'honnêteté intellectuelle. Pour lui, le GIEC a des certitudes pour le moins étranges au vu de l'incertitude entourant les données à partir desquelles il travaille.

Il relève aussi un certain njombre d'incohérences, d'affirmations infondées, d'erreurs probables mêmes. Au final, on se demande comment un tel consensus sur les assertions du réchauffement par le CO2 lié à l'activité humaine est possible.

Vidéo de la conférence:




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commentaires

N
<br /> bon lien, merci<br /> <br /> alors ce n'est pas par hasard qu'on en arrive là aujourd'hui.<br /> <br /> tout est dissimulé, s'ils étaient honnetes, ils diraient leur programme . Au contraire, on nous dit une chose, pour faire une autre: des mots comme démocratie, paix, emploi etc reviennent dans<br /> leurs discours mais la réalité est bien différente.<br /> <br /> Le monde qu'ils veulent pour nous, c'est un monde avec des chefs (eux) et des esclaves.<br />  <br /> Comment faire pour éviter ça?<br /> <br /> <br />
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